La Playlist générique ( ou, elle sors enfin d’hibernation)!!

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« Oh l’autre hé, comment elle joue la facilité en revenant avec une playlist!! », me direz-vous. Ce à quoi je répondrais qu’avec toute la poussière à faire ici, un peu de musique pour se motiver ne fera pas de mal. Na.

Bref, sur ce, voici la playlist génériques; le titre parle de soi, il s’agit donc de vous présenter les générique de séries que j’aime d’amour, que ce soit pour la musique, ou pour l’esthétique du clip, ou les deux, soyons fous! Et comme ça risque d’être longuet, y’aura deux playlists, une pour les séries, et une pour les anime!

On attaque donc de front avec ma série d’amour que j’aime, le truc dont je suis une groupie sans cervelle rien qu’à la mention du nom:

flublublublubli!!!!

On continue avec une série qui a rythmé ma jeunesse, et que je trouve tout à fait regardable encore aujourd’hui, tant certains des thèmes abordés  seront toujours d’actualité. Et puis Joss Whedon, quoi ❤

Celui de la saison 1 tant qu’on y est, parce que la, on est dans le total kitsch \o/

Un de mes derniers coup de coeur, une excellente série que je ne saurais que trop conseiller pour les amateurs de séries policière sortant du schéma « experts scientifique- civil trop intelligent pour son bien »

Gnih.

Ensuite, encore une de mes séries favorites. Malgré deux dernières saisons un peu faibles au niveau du scénario, un spin off prometteur mais annulé trop tôt, et un spin off qui n’existe pas, je demeure une fan fidèle. Ouais, carrément.

Pour info, mon chat s’appelle Teal’c, hein. A ce point, oui.

Pour une fois, une série dont je ne suis pas une énorme fanne, mais dont j’aime beaucoup le générique, que je trouve assez chouette, même s’il a un peu rien à voir avec le contenu de la série.

Bon, la, je pense que je peux me passer d’explications!

La, on va sortir un peu du cadre sf/ fantasy, avec une série que j’adore, que plus ça va, plus c’est mieux,  avec un générique punchy comme tout qui me donne envie de fretiller:

Gabriel Macht, quoi ❤

On attaque la un cas particulier; ce générique est un traumatisme personnel, tellement il a rien a voir avec la série, mais en même temps, c’est tellement emblématique, que dès qu’on entend les premières note, on est dans l’ambiance direct. Chapeau, quoi.

Et je parle pas d’une dès musique d’ambiance de la série, dont on entend les premières notes à la fin de la vidéo, qui me donne envie de me ronger les ongles de flipette.

J’aime le Jazz. J’aime la Nouvelle Orléans. Je ne pouvais qu’aimer cette série et son générique absolument fabuleux. Comme tout le reste de la série, quoi.

shakage de booty!

Et pour finir, une série sur laquelle j’ai accumulé énormément de retard, mais dont je trouve le générique magnifique, niveau visuel, sonore, bref, me likey, comme dirait l’autre!!

Voila, voila, en attendant la suite consacré aux anime, n’hésitez pas a faire de même de votre coté, et a présenter les génériques qui vous plaise!

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La Playlist du Dedans

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Parce que ça faisait longtemps que j’avais pas posté quelque chose, que j’ai toujours pas fini les articles qui sont en cours, mais que j’avais quand même envie de poster quelque chose avant que ça moisisse. Du coup, une petite playlist, ça me semblait bien , et que faire le pendant de la précédente me semblait bien.

La chanson qui va bien pour camoufler ton Nervalisme intérieur ( « je suis le veuf… », tout ça…), et fumer d’un air absent à ta fenêtre en laissant aller tes pensées (« putaaaaaaiin, j’ai pas les courses » « putaaaaaaaain j’ai pas fait la litière du chat »,  » putaaaaaaaaaiinn » ect…)

Bin wi. Carrément.

Faut faire le ménage. T’as pas envie. Mais vraiment pas. Mais il faut, avant qu’on ne vienne t’accuser de créer des armes biologiques dans ton salon. Du coup, forcément, faut de la motivation.

Yo.

Tes voisins t’emmerdent. Mais genre profondément. Du coup, tu laisses sortir ta Inner Biatch. Et tu Headbang. Hin, hin, hin.

Bien sur, faut faire péter le son à fond, sinon, c’est moins drôle.

Tu es d’humeur mélancolique. Pas triste, non, juste un peu morne, quoi.

C’est l’heure du câlin avec le chat, en mode gâteuse au possible:

Ron ❤

Ça fait longtemps que t’es pas sorti avec tous tes potes, que vous avez pas bu un coup en refaisant le monde à votre manière, du coup, tu frétille comme une brute. Et tu te prépare psychologiquement.

Du coup, la aussi tu headbang.

Et pour finir, la chanson « Feel Good », celle qui te fera toujours rire un bon coup, quelle que soit ton humeur. Faut donc du level, pardon d’avance aux familles, tout ça:

Ca marche très bien sur moi en tout cas x)

Voila pour cette fois, on se retrouve plus vite, promis, enfin, pas trop vite non plus, y’a le Salon du Livre à préparer la!

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Le Bazar #2

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Bon, comme j’ai la flemme de faire autre chose, un petit article fourre -tout, en attendant ceux que j’ai en préparation, mais ou que pour ça, j’ai des livres à finir!

Rien de nouveau sous le Soleil, à part qu’avec le Bonhomme, on est enfin allé voir l’expo, Rêves de Monuments à la conciergerie:

 

En un mot: magnifique. On y est resté près d’une heure et demi, et j’ai pas vu le temps passé. Le parcours nous emmène de ces châteaux médiévaux jusqu’aux contemporains et imaginaires, tel Poudlard, représenté ici par une maquette Lego absolument énorme, dans tous les sens du terme. Franchement, y’en a pour tous les goûts, et c’est absolument passionnant et magnifique, servi par une scénographie démente. La multiplicité des médias sers totalement ce voyage, puisqu’on y trouve non seulement gravures et tableaux, mais aussi sculptures, extraits de films, projections, et même une lanterne magique dans un coin qu’on aurait bien emmené avec nous, mais c’était pas franchement discret.

La profusion d’éléments pourrait en effrayer  certains, mais on est loin de se sentir ensevelis sous toutes ces pierres, bien au contraire, puisque comme je le disait, on a droit à un parcours complètement fluide, et le parti pris de la vision chronologique fait qu’on a plus l’impression d’une ballade tranquille. Pour le coup, je me dis que je tenterai bien d’y retourner pour profiter de la visite guidée!

Elle se termine certes dimanche, mais si vous avez l’occasion,n’hésitez pas, ça vaut vraiment le coup. Pour ceux qui voudrait quand même voir à quoi ça ressemble, voici un petit reportage qui vous donnera un très bel aperçu!

Entre deux activités hautement intellectuelles, on est allé voir hier soir Die Hard 5, parce que de temps en temps, faut bien s’aérer le neurone!

On sens bien la testostérone, la…

Bilan: mitigé. Et pourtant, le début du film est plutôt chouette: John McLane, toujours pas de cheveux, mais toujours toutes ses dents (enfin, durant les quatre premiers, il doit bien en avoir perdu une ou deux, quand même…), est à la recherche de son fiston, qui ne donne plus de nouvelles de lui, mioche indigne. Ses connexions de flic lui permettent de le retrouver à Moscou, présent en tant qu’accusé de meurtre lors du procès très controversé d’un ex milliardaire. Autant dire que Popa McLane va sauter dans le premier avion pour aller demander deux trois explications au morveux. Qui va s’avérer être autre chose qu’une petite frappe au complexe d’Oedipe mal foutu; on va s’arrêter la avant de spoiler, déjà que le scénario tient sur un ticket de métro, on va quand même tenter de ménager la surprise! 🙂

Et ça aurait pu tout déchirer, et Bruce Willis est en pleine forme, et ça pète de partout, y’a de l’humour, de l’action, des gros flingues, bref, un Die Hard tout à fait classique….sauf que, après une première partie tout à fait époustouflante, le soufflé retombe. Le film va vite, trop vite, les relations entre père et fils se débloquent de manière assez triviale, c’est pas très réaliste (composé 24-7 pour ceux qui l’ont vu…seriously???), et tout est un peu trop simple (même si le twist est sympa, mais ça va pas très loin), bref, y’avait tout, mais la sauce prends pas.

Et puis, y’a Junior. Alors certes, il ne dormirait pas dans la baignoire, mais bon sang, il est à baffer. Emo, pleurnichard, ne sait pas contrôler sa colère, et ne sais pas aller très loin sans son papounet, qu’il passe les trois quarts du film à dénigrer. Mouais. Si c’est ça, la relève, ça craint.

En plus, il a pas d’humour.

Cela dis, malgré tout ses petits défauts, ça reste un bon vieux blockbuster des familles comme on aime, et ça serait dommage de s’en priver pour si peu, tant qu’on aime le genre!

Pour se remetre de ses émotions  dimanche, on va au Cernunnos avec ma femme, ou on devrait retrouver du beau monde (Wil, si tu passes par la <3), et surtout, SURTOUT, voir Corvus Corax, dont se serait mon premier concert. Je reviens, je vais sautiller partout comme une forcenée.  Et comme je suis gentille, pour ceux qui connaissent pas, je vous sers un petit live, qui démontre bien le potentiel tuerie de la chose:

En parlant de ma femme, c’est la meilleure, et pas juste parce que c’est ma femme, mais aussi parce qu’elle m’offre une place pour Foals. Et ça, c’est trop cool, prce que même si je connais peu le groupe, ce que j’en ai entendu est plutôt de nature à me faire frétiller. Moins headband sauvage, mais totalement shakage de booty.

Sinon, à part ça, demain, grosse soirée aux Caves Alliées, puisque seront présent pas mal d’auteurs des éditions Lokomodo/ Asgard/ Midgard, pour ceux qui ne pourront aller à Zone Franche. De la bière, des bouquins, et une bonne ambiance garantie, moi j’y serais, les copines aussi, ça promets un bon vendredi soir, ça.

Sur ce, à bientôt pour de nouvelles aventures\o/

Le Tiercé gagnant: Beck.

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Aujourd’hui, j’innove: au lieu de te présenter ou un livre, ou un film, ou une série, j’te présente les trois en même temps.

Eh ouais, carrément, ça rigole plus.

Ça va tourner autour d’un manga dont je suis fanne, et dont les adaptations en anime et en film live ont été plus que réussi: Beck, de Harold Sakuichi.

Et donc, ça raconte quoi, me direz-vous? C’est l’histoire de Yukio Tanaka, dis Koyuki,  14 piges au compteur, un balai dans le fondement, tête de turcs des caïds de sa classe, et qui en dehors de ça, s’ennuie profondément. En gros, le gamin est mal parti. Et tout ça va changer quand il va sauver la vie d’un chien, un peu étrange, dont le propriétaire, Ryusuke Minami, est un passionné de musique, un génie de la guitare et membre d’un groupe. A son contact, Koyuki va développer à son tour une passion dévorante pour le rock, commencer la guitare et le chant, disciplines dans lesquels il s’avérera plus que doué…

Désormais,  entre son apprentissage de la musique avec le barré Monsieur Saïto, sa relation avec la soeur de Ryusuke, Maho, la formation du groupe Beck avec ce dernier, Chiba, le rappeur déjanté, Taïra, le bassiste doué et Saku, son meilleur ami et batteur enjoué, il ne pourra plus se plaindre de son ennui! Surtout que Ryusuke, rentré peu de temps avant leur rencontre des Etats Unis, semble cacher beaucoup de choses: Beck, ce chien étrange et couturé de partout est-il vraiment à lui? Et Lucille, cette guitare aux impacts de balles…elle a beau avoir un son parfait, ne va-t-elle pas leur apporter plus d’ennuis que de gloire?

Blindé de références à la musique et à la pop culture, servi par un scénar’ impeccable, mettant en scène une brochette de personnages humains et attachant, le tout servi par un dessin maîtrisé et élégant, c’est LE manga que je conseille à  tous les  amateurs de musique, et à ceux qui aime les mangas impecc’ sur tous les points.

Bon, ok, il fait 34 tomes, bon, ok, le héros est un ado attardé, mais ce sont bien les seuls défaut que j’ai trouvé au manga (au moins, j’ai été objective, si, si). L’édition française est super soignée, avec des cds offerts dans quelques tomes, des dossiers, des interviews, tout pour prolonger la découverte ou la re-découverte des groupes et des gens auxquels Sakuichi fait référence.

Evidemment, comme a a fait un tabac au Japon, il a été adapté en anime….et la encore, coup de coeur!

Générique de début de l’anime, pardonnez moi pendant que je sautille frénétiquement….

Reprenant les douze premiers tomes du manga sans trop de différences, et offrant une rapide conclusion de l’histoire, c’est un plus fort sympathique pour les fans, ou pour ceux qui veulent découvrir l’histoire, mais que la longueur de l’oeuvre de base rebute un peu. Il a cet particularité out de me, d’avoir un rythme très lent, limite mélancolique, qui sied plutôt bien au caractère de notre héros. par contre, l’animation est impeccable, et,par rapport à d’autres mangas musicaux qui se sont vu adaptés en anime, comme Nana ou Gravitation, les concerts rendent pour une fois vraiment bien; on sens le punch, la sueur,  bref, ça fait presque aussi vrai que vrai!

La voix qu’ils ont trouvé pour Koyuki, au chant, est peut être un peu particulière, mais colle plutôt bien à l’age du personnage et au niveau de maîtrise qu’il est censé posséder, et surtout, surtout, on a droit a du vrai rock, pas juste de la pop a guitare, big up donc! Bref, j’appellerais ça un complément indispensable au manga!

Et comme, au Japon, le succès ne se dément pas, pourquoi pas adapter la chose en film live….

La, ça ne rigole plus.

Mais alors du tout. Le film, les acteurs, la musique, c’est un sans faute absolu, et limite, un film que je conseillerais même à ceux qui n’ont pas lu le manga.

Cette fois, le scénario est placé du point de vue de Ryusuke, ce qui donne une toute autre dimension à l’histoire que l’on connait déjà, et non seulement, ça évite la redite, mais en plus, les scénaristes ont réussi à respecter complètement l’histoire du manga, malgré le fait qu’ils soient partis sur tout autre chose. Les acteurs qui interprètent nos héros sont excellents (j’étais déjà gaga de Chiba avant, mais depuis que j’ai vu le film, je suis totalement amoureuse), et surtout, ils ont tous appris à jouer les morceaux écrits pour l’occasion, voire à jouer tout court, et toutes les parties chantées le sont par les acteurs eux même, et non par une doublure; ça rend toutes les scènes musicales bien plus réalistes et « sincères », et on se  surprend a sautiller sur place devant certains morceaux (Revolution pour n’en citer qu’un <3).

Le seul bémol, et encore, c’est le parti pris choisi par rapport à la voix de Koyuki: en effet, pour mieux rendre le coté exceptionnel de sa voix, l’équipe du film a décidé de ne pas doubler les parties chantées. mais pas du tout. C’est à dire qu’un plein milieu d’un passage bien punchy, tout à coup, on a droit à du violon en arrière son avec des gens qui s’extasie. Moui. Bof. Heureusement que Tanaka n’est pas le héros du film, on ne « ‘entend » chanter que deux foi, et Chiba est du coup plus mis en avant pour les concerts, mais c’est spécial. Pas de quoi gâcher un très bon film, mais c’en est définitivement le point noir.

En dehors de ça, jetez vous dessus sans aucun souci!

Bonus « Les Trois Mousquetaires »: y’en a  pas trois, mais quatre!

J’en ai vaguement parlé en évoquant l’anime, mais le point fort, tout format confondus, c’est quand même la bande son. Autant le manga pour les playlist à base de  Rage Against the Machine,  Red Hot Chilli Peppers, Jimi Hendrix et j’en passe, que les créations de l’anime et du film, parfaitement respectueux de l’univers musical dans lequel on est plongé jusqu’au cou. Les éditeurs français et allemand ont poussé la chose eux aussi, en hésitant pas à offrir dans certains tomes les CDS qui allaient avec l’édition japonaise!

Quand à l’anime et au film, ils bénéficient de créations originales plutôt bien foutus et parfaitement écoutable, et carrément différent de ce qui nous parvient en j-rock ces dernières années.

Pour en savoir plus sur les rapports entre Beck et la musique, je vous renvoie vers l’excellent fan site Beck MCS  notamment à leur partie Références, qui recouvre les 34 tomes du manga, et au dossier Beck de Manga News.

Enjoy!

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La Playlist du Dehors.

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Aujourd’hui, j’ai envie de parler mouzik.

Eh ouais.

Plus précisément, de ces chansons qui font que, quand je marche dans la rue, je me sens tour à tour invincible/ trop dark/ super jouasse, celles qui font que je pourrait me mettre à danser en plein milieu du Carrouf’, celle qui font passer le vent dans tes cheveux de chiant à onirique, j’en passe et des meilleures (ouais, d’ou le titre, j’ai été chercher loin, ça se voit). Voila donc en avant première mondiale, les chansons indispensable de mon lecteur mp3, pour survivre dans la jungle urbaine!

On commence par la chanson qui va bien quand t’es pas sorti de chez toi pendant une semaine, que t’as passé la dite semaine à bouder/ être malade/ te dévaloriser jusqu’au moment ou tu décides que la seule compagnie de ton pécé et de ton chat, ça va bien, mais que t’en profiteras mieux après avoir mis le nez dehors te prendre un shoot de pollution et de touristes:

Obvious, isn’t it?

Ensuite, mise en situation: c’est le matin, tôt, il pèle sa mère sa mère et tu pédales encore tellement dans la semoule que tu sais pas trop comment t’as pu prendre forme humaine avant de sortir de chez toi (et tu pries pour avoir bien mis la même paire de chaussure au pied (quand on a cinq paires similaire -genre, des creepers, j’dis ça au hasard-, c’est un problème récurrent), tu as donc  besoin d’un truc pour  réveiller tes neurones. Et plus vite que ça:

Oui, bon, elle était facile, celle-la…

Y’a des moments comme ça, où t’as la patate. Une furieuse envie de sautiller partout, de faire du free hug dans la rue, bref, tu brilles intérieurement de milles feux, mais, bon, un peu de tenue quand même. Cela dis, avec ce que tu as mis dans tes oreilles, ça va être difficile de se retenir:

Tu es au supermarché du coin, c’est la quatorzième fois que les rayons ont bougé ce mois-ci, tu retrouves plus rien, et ça fait trois quart d’heure que tu cherches le PQ, tout en arrêtant pas d’atterir au milieu des pâtes. Et non, tu ne tenteras pas d’expériences de ce genre:

\o/

Ah, tiens, encore un boulet qui oses t’adresser la parole sur un ton familier, pour te faire des propositions indécente, ou au moins, essayer de choper ton numéro de téléphone;

Samedi soir, tu t’apprêtes à aller remuer du popotin dans des lieux de perditions alcoolisés; bon, certes, tout le monde n’est as dans la mouvance tru dark de la mort qui tue, mais personnellement, cette chanson me fait frétiller grave:

 

Aujourd’hui, tu es le maître du monde. Rien que ça:

Ça ne marche qu’avec ce live, sinon, c’est moins drôle!

Sur ce, j’vais aller tenter de ce pas de déboucher ma narine récalcitrante et me préparer pour un aller-retour à Bollywood (pas le vrai loin la bas, hein, le quartier parisien ^-^), hésitez pas à partager vos chansons pour playlist de rue, on sais jamais, ça peut être drôle! 🙂

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Le Bazar #1

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Un petit article vite fait, en passant, histoire de me motiver un peu à donner un rythme à ce foutu blog, sinon, je vais encore le passer à la trappe, le pauvre….du coup, ce genre de petits vracs risque de poper une fois de temps en temps. Il est bon des fois de ne pas entretenir sa flemme.

Déjà, un des derniers clips que j’ai beaucoup aimé, comme quoi, des fois, Youtube ne fait pas que des suggestions bizarre. Ça faisait longtemps que j’avais pas écouté du Lacuna Coil, et j’aime vraiment beaucoup l’esthétique de la vidéo. Simple, but effective, comme dirait l’autre.

 

Je kiffe sa robe un peu beaucoup…

J’ai relu et revu le dernier Harry Potter. Une envie subite, comme ça, qui est devenu omniprésente suite à des débats passionnés avec une partie de la Taupinière. Et même si j’aimerais toujours beaucoup cette série et certains de ses personnages (rah, Snape<3), y’a quand même certaines choses, qui, avec les années et le nombre de bouquins jeunesses que j’ai pu lire, ne passent plus du tout. Le manichéisme primaire qui ressors de certaines lignes, par exemple. Comment certains personnages finissent par manquer de cohérence. Le complexe d’Oedipe de Harry himself, qu’elle aurait quand même pu résoudre au bout de sept tomes. Non, et puis Albus Severus, quoi. Je vais jamais m’en remettre TT

Et puis rendons à César ce qui est à JK Rowling; elle a quand même créer tout un univers, qui, même si elle ne l’a pas exploité à fond, reste assez fouillé, cohérent et complet. Sans oublier une galerie de personnages, certains plus réussis, et plus humains que d’autre, comme ce bon vieil Albus, dont l’histoire personnelle reste ce que j’ai préféré dans le tome 7.

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Oui, je suis une groupie, je sais…

Du coup, j’étais assez curieuse de voir ce qu’elle pouvait faire hors HPverse, je me suis donc plongée dans Une Place à Prendre.

Pour en sortir aussi sec.

A ce jour, alors que je l’ai commencé en Décembre, je ne l’ai toujours pas fini, et je doute de le faire un jour; je me suis royalement emmerdée dès la première page du bouquin. Je sais pas si ça décolle à un moment ou un autre, mais bon sang que c’est chiant. En plus, c’est glauque. Mais genre glauquissime (aahh, petit déjeuner de la famille Price dans le chapitre 2). Comme si elle avait voulu arracher à la tronçonneuse l’étiquette d’auteure pour la jeunesse. Comme ça, hop, sans vaseline. Du coup, ça me donne une impression de surenchère dans l’écriture, d’un trop. Trop tout, quoi. Et se taper ça pendant 1000 pages, merci, mais non merci, ma PAL se portant plus qu’à merveille, je vais le laisser de coté pour un soir de désespoir (ou de profonde abnégation, sait-on jamais).

En plus, la couverture est d’un moche…

Pour conclure sur une autre note, cet après midi, Myschka et moi allons faire un petit tour des tatoueurs. Pour des devis.

Hin, hin, hin.

Mais si, y’ encore de la place x)

Sur ce, je vais me refaire un litre de thé histoire d’arrêter de pédaler dans la semoule. A plus, gens!

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L’éternel retour du fils de la vengeance…

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On prend la même, et on recommence.

Mon inconstance bloguesque et ma flemme phénoménale m’interdise de miser trop d’espoir sur le fait qu’un simple changement d’hébergeur allait améliorer les choses, non parce que depuis le temps, ça se saurait (mais over blog, la, c’était devenu trop moche, ça aide vraiment pas).

Bref, on peut donc s’interroger sur mon acharnement à créer des blogs; après tout, qu’est ce que j’ai à dire?

Je peux pas être une blogueuse mode; mon goût prononcé pour les têtes de morts, les papillons finirait par lasser, et mon 42 ferait un peu tâche dans le décor. Pis en plus, les 3/4 du temps, j’suis en jean-creepers. Feignasse, j’ai dis.

J’peux pas être une blogueuse beauté. J’ai deux mains gauches à cinq pouces.

Blogueuse déco, n’en parlons même pas, a moins que les piles de bordel avec de poils de chats dessus soit considéré comme designs. Ce qui n’est pas le cas, ou alors, on m’aura menti.

Blogueuse cuisine? J’me débrouille bien , mais je suis infoutue de faire des présentation correct. Et en général, la bouffe n’attend pas (non, sérieux, j’admire ceux et celles qui te font des pures gâteaux au chocolat, ou autre tuerie, et qui sont capable de le photographier sous tous ses angles sans se jeter dessus sauvagement). Cela dis, si un jour je ponds un truc formidable, je partagerai. Ouais, j’suis comme ça, moi ❤

Blogueuse littéraire? Çà se précise. En fait, c’est un peu le but. Je suis papivore ascendant «mauvais genres». Mais je bouffe de tout, tant que les mots me plaisent. Mais je ne me cantonnerai pas juste à ça, sinon, ça serait pas drôle.

Si j’ai envie de parler de ma vie, je le ferais. De partager ce que j’aurais vu, entendu, je le ferai.

Après tout, c’est chez moi, ici, non?

Entrez. Essuyez vous bien les pieds, et prenez place.

Promis, je serais gentille<3

IMAG0403 - Tony,Burn,Sand

Certes, quand on voit mon nègre, on se doute que ça va pas être facile, hein…

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